Accès à l’éducation
«Notre enfant ne va pas à l’école»: de telles plaintes sont, ces dernières années, de plus en plus adressées au Comité de la par des réfugiés et des migrants. Les directeurs d’écoles et de jardins d’enfants motivent leurs refus par des motifs d’ordre légal et administratif → la citoyenneté de l’enfant ou son enregistrement domiciliaire.
C’est illégal, car le droit d’étudier (indépendamment de l’existence ou de l’absence de nationalité) est garanti à chaque enfant par la Constitution de la Fédération de Russie et la loi fédérale « sur l’éducation ».
Depuis 2014, nous avons travaillé dur pour protéger le droit des enfants réfugiés et migrants vis-à-vis de l’éducation:
– nous gardons un œil sur les violations du droit à l’éducation;
– nous aidons à obtenir l’accès à l’éducation (nous conseillons les parents, nous faisons remonter des plaintes aux structures gouvernementales, nous communiquons avec la direction des établissements d’enseignement);
– nous essayons de résoudre la situation dans son ensemble, en participant à l’évolution de la politique de l’État (recours au ministère de l’éducation, au gouvernement de Moscou, au parquet, à la cour suprême de la Fédération de Russie, participation au groupe de travail sous le Commissaire aux droits de l’enfant de la ville de Moscou, etc.).